Stage de Pakua à Paris

Une nouvelle édition pour certains membres de notre association (Nathalie, Léa, Patrick et moi-même) s’est présentée en ce début de mois de mars, sur Paris, pour un stage de Bagua Zang. Ce dernier fut dirigé par Sensei Pierre Portocarrero avec qui nous avions déjà été initiés à la pratique du Pakua chuan (autre dénomination) dans le Bas-Rhin. C’était donc un quatrième rendez-vous, dont deux sur Paris.

Considéré comme appartenant au style interne (Nei Jia) des Arts Martiaux, le Bagua Zang reste une originalité, par de nombreux aspects. Ses déplacements s’effectuant sur des cercles imaginaires, on peut deviner tout de suite la complexité de la spatialisation dont il faut avoir conscience pour obtenir une bonne distance. Ses sensations sont également particulières selon les lignes de force considérées durant le contact. La sensibilité que doit avoir le pratiquant rencontre également ses difficultés car entrer trop dans le physique devient dans cet art majeur une erreur, même si le corps en reste de toute façon le support.

La perception, encore plus, la progression de la compréhension des contenus du Bagua Zang fait de cette pratique quelque chose de difficile. Nous sommes ici dans la subtilité, la finesse à un très haut niveau. Cela n’a rien de pédant d’en parler de cette sorte, c’est juste qu’il faut être conscient que cela reste une technique à part. On n’accroche, ou pas !

Nous avons vu les trois premières formes et entrevu la quatrième, qui, même faisant partie de la base, est déjà compliquée, non dans la gestuelle, mais dans la compréhension du vécu intérieur qu’il faut avoir. Une pratique donc exigeante mais ô combien passionnante. D’ailleurs, au final de ce stage nous avons tous été contents quel que soit le niveau.

Le rendez-vous pour l’année prochaine est déjà noté… En attendant, chacun d’entre nous doit travailler pour progresser dans cette pratique en complément de celles que nous faisant déjà, le Karaté et le Tai Chi Chuan.

Un grand merci au Sensei et à ses assistants qui nous ont permis de progresser dans cet accompagnement vers une discipline encore peu pratiquée en France.

Deux élèves de Pierre Portocarrero en déplacement sur le cercle.
Nathalie du Dento Budo Dojo dans une phase de déplacement.

Nathalie du Dento Budo Dojo dans une phase de déplacement.

Au centre Nathalie dans une phase du Bagua Zhang, et Patrick (en noir) sur la droite. Un travail de base sur ce cercle virtuel sur lequel on se déplace est un début pour sentir les tensions et sensations à mettre en place.

Dominique à gauche et Patrick lors d'une phase du déplacement.
Pierre PORTOCARRERO corrigeant des stagiaires
Groupe du stage de Bagua Zang en compagnie de Pierre PORTOCARRERO.
 

Stage KOSHIKI KATA, à Eschau

Retour dans le passé pour une pratique du présent. C’est ce qu’offre la pratique des katas dans certains styles notamment okinawaïens ou directement en lien dans le sud de la Chine.

Il ne faut cependant pas se tromper dans la recherche à mener et la façon d’envisager l’étude du karaté à travers ces styles. Nous sommes là dans une pratique diamétralement opposée à celle des sports de combat. Pourtant, leur efficacité est bien réelle, moyennant quelques adaptations lorsqu’il s’agit de kumité face à plusieurs adversaires. Contrairement à ce qui peut être perçu, ce karaté n’est pas forcément un karaté de « musée » ! Ce n’est pas l’ancienneté qui en fait quelque chose de désuet ! Pour cela, il faut considérer en profondeur l’étude du geste, séparément, avec des principes peu connus en France mais qui enferme une véritable éducation du corps autant physiquement que sur le plan de l’interne. C’est un travail fastidieux mais qui en vaut la peine. On comprend également mieux pourquoi certains experts manifestent une gestuelle avec une dynamique du corps parfois assez bluffant. Le travail lorsqu’il est mené avec une telle profondeur engendre une autre qualité dans la technique mais également dans l’approche mentale qui accompagnera la progression du karatéka.
Pratiquer le Koshiki Kata, mais à condition de laisser de côté les réflexes corporels acquis d’un autre style, sera juste et bénéfique si et seulement si on se tient à mettre en œuvre certains paramètres dans le corps. Cela demande alors beaucoup d’humilité et une considération autre de ce type de pratique du Karaté qui, au sein même de notre école, le Tengu-ryu, a une véritable place.

À travers les kumité, l’assimilation des principes sous-jacents de la pratique des Koshiki Katas verra jour. Au Dento Budo Dojo, nous nous employons à mettre en œuvre ces concepts mais accompagnés d’autres, ce qui ouvre à un karaté d’étude très inspirée des formes anciennes avec une modernité qui doit répondre à certaines formes d’agressivité, notamment pour en citer une, celle face à plusieurs adversaires.

Du Shorin-ryu de Sensei Higa Yuchoku, nous avons vu Bassai dai, du Uechi-ryu le kata Sanchin, de l’Itosu-ryu le kata Papuren, à ne pas confondre avec le kata Happoren, qui, rappelons-le, fait partie du vieux style de la grue selon feu Sensei Ohtsuka Tadahiko, ainsi que Hakufa également pratiqué au cours de ce stage. Tous ces katas de par leur appartenance doivent également être considérés dans l’approche même de leur style d’origine. Une difficulté dans la difficulté ! Mais c’est aussi l’occasion d’enrichir sa propre pratique dans les sensations qui s’en découlent.

Notre groupe de karatéka présent à ce stage a, souhaitons-le, eu une nouvelle fois l’occasion d’enrichir son approche du Koshiki kata. C’est une pratique qui est fortement travaillée et démontrée au C.C.A. à Sélestat, là où se situe notre lieu de pratique. Notre Sensei, Jean-Claude Bénis, a une pratique du Koshiki kata qu’il enseigne au Dento Budo Dojo avec en plus des exercices qui leur sont spécifiques pour aller plus loin dans la mise en œuvre du karaté de chacun. C’est à la fois passionnant, mais aussi déroutant. Il est parfois difficile de comprendre que certains processus ne peuvent se manifester qu’après un long travail dont on ne peut entrevoir des résultats qu’après un temps assez long. Ce n’est évidemment pas dans l’air du temps où tout doit aller vite !

Une œuvre ne peut que se manifester après une grande maturité et une pratique assidue et constante dans l’effort. À l’image du Koshiki kata, c’est peut-être aujourd’hui d’un autre temps…

Merci au Soké Roland HABERSETZER qui nous permet de considérer cette pratique ancienne pour l’inclure dans la réflexion de notre karaté moderne propre au Tengu-ryu. Construire sur le passé pour se projeter dans l’avenir c’est aussi cela la tradition de notre école, le ryu.




Mai 2019, Stage de printemps

Comme cela avait été annoncé, ce stage de printemps 2019, le 55e, fut d’une teneur particulière.

En effet, ce 55e stage était aussi celui d’une passation. La présidence assumée pendant 44 années par le créateur du CRB-IT, Soké Roland HABERSETZER, voit cette fonction relayée maintenant par Jacques FAIEFF. Des applaudissements largement exprimés venaient conforter ce choix.

Participants au stage de printemps.

Le ton était donné en début de stage lorsque le Soké du Tengu-ryu fit l’introduction. Rempli de Ki, avec une certaine « colère », une certaine « douleur », orientée vers l’intérieur du ryu* comme vers l’extérieur de celui-ci, sa prise de parole était comme une onde reçue par chacun.

Malgré tout le prosélytisme, avec des stages en France comme à l’étranger, en Europe comme hors Europe, malgré plus d’une centaine de publications dans des revues spécialisées d’Arts martiaux ou s’y rapprochant, malgré une centaine de livres publiés dont la célèbre « Encyclopédie des Arts Martiaux », de Roland et Gabrielle HABERSETZER, malgré des conférences, le résultat est là : médiocre.

Le rouleau compresseur de la médiocrité prime dans de nombreuses méthodes martiales qui considèrent le domaine de la défense jusqu’à presque du jeu ! alors qu’il s’agit de sauver une ou plusieurs vies humaines, avec toute la responsabilité que cela engage du point de vue pénal. Mais le constat est là, devant nous. Rendez-vous raté.

Il est clair que notre ryu dans ses concepts voit un décalage avec l’orientation actuelle des soi-disant arts martiaux… L’illusion prend le dessus sur la dure réalité qui nous tombera un jour dessus, mais ça sera trop tard !

Cela ne nous a pas empêchés de nous réunir avec un groupe autour de 80 personnes. La ténacité (lorsqu’on vient de Russie, on ne peut dire moins…), la volonté de suivre un Do, la fidélité, etc, étaient là, sans exclure pour autant l’ouverture, la remise en question des acquis, pour sans cesse améliorer sa propre pratique.

Une ouverture par exemple avec la pratique du kata Pappuren de l’Itosu-ryu. Toujours aller chercher la sensation du mouvement pour en extraire des principes adaptables dans les kumité de notre école est la bienvenue. C’est tout bonnement participer à l’affûtage de la lame…

Le travail de certaines séries du Goshin, propre au Tengu-ryu, prend davantage forme malgré la difficulté de ce qu’il représente. L’embusen, la technique qui sort des schémas habituels du karaté et les sensations corporelles comme mentales font de cette pratique à deux un échange bien particulier entre les karatékas. La rondeur, la souplesse prennent en effet plus de place que la technique employée lors des échanges dans les Kumité-kata. Comme formulé par le Soké, le Kumité-kata prend déjà l’allure d’un koryu-kumité-kata**, alors que le Goshin serait plutôt un shin-kumite-kata.

Le bokken, sabre de bois, eut également sa place dans ce stage de printemps en orientant le travail sur le dégainé que l’on trouve dans le Buki-ho Tengu-no-Kata*** de notre école.


* École, en japonais.
** koryu, ancien, en opposition de shin, nouveau.
*** Buki-ho Tengu-no-Kata se pratique de plusieurs manières selon l’arme utilisée mais en respectant les principes et l’embusen de la forme mère du kata : Kara-ho Tengu-no-Kata, qui se pratique à main vide.

Séquence du kata Hakufa
Séquence du kata Hakufa
Séquence du kata Hakufa
Séquence du kata Hakufa
 

Stage de HOJUTSU - novembre 2019

Le temps passe...

Un stage qui touche peu de personne, car c’est le troisième domaine de compétence du Tengu-ryu. Pour y accéder, il faut tout d’abord être ceinture noire de l’école Tengu-ryu. La notion de responsabilité y est encore plus pointue. Cela exige un contrôle, un discernement, un engagement ferme et décidé, le tout chapeauté par un mental sans faille.

Le comportement, l’attitude face à une situation impliquant une décision devant un contexte armé n’a pas le droit à l’erreur. C’est pourquoi, comme toute instruction, nous commençons par les règles de sécurité avant d’engager des drills pour parfaire une réponse en cas d’une confrontation réelle. Si le premier domaine de compétence du Tengu système exige les mains libres, totalement dépourvues d’une quelconque arme, si ce n’est que son propre corps comme le présente le Tengu-ryu Karatedo, les deux autres domaines quant à eux s’expriment par l’utilisation d’armes. Le kobudo, exprimé dans le deuxième domaine de compétence, avec l’utilisation classique de bâtons (bo, tambo, mais qui peut être élargie à d’autres, comme pourquoi pas le jo…), ou encore les sai, bref, toutes formes d’armes appartenant à cette tradition ancestrale que l’on connaît sera la référence à l’utilisation des armes anciennes. Le troisième domaine quant à lui touchera aux armes (certaines) modernes.

On ne peut aujourd’hui concevoir un système de défense complet si on n’intègre pas les nouvelles circonstances que peuvent nous faire subir des actes encore disséminés (et heureusement rares) de ces modes opératoires armés. Il est donc sage d’avoir des notions, mais plus encore, des connaissances opérationnelles pour peut-être un jour sauver une vie autour de soi (un policier blessé par exemple) et faire face aux agresseurs.

Ce stage avait une note particulière, car c’était les 10 ans d’existence de ce domaine de compétence qu’est le Hojutsu. À cette occasion, les stagiaires furent promus à un grade supérieur et qui appartient évidemment à notre école, le Tengu-ryu. Jean-Claude Bénis fut de ceux-là, avec le titre de Renshi-ho en Hojutsu. Ce fut évidemment une surprise… Personne n’a vu les 10 années passées dans ce cadre.

Sur ces quelques lignes, suite au prochain stage de Hojutsu, mais avant tout, celui de Kan Geiko, le stage d’hiver, nous attend dans deux semaines, en Alsace cette fois-ci.

Hojutsu
Hojutsu - stagiaires diplômés

Les stagiaires, tous diplômés après ces dix années dans le troisième domaine de compétence du Tengu-système.

 

Un nouveau 4e dan !

Suite à une rencontre malencontreuse avec la grippe au mois de mars, Didier SIAT n’a pu se présenter au passage prévu pour son 4e dan. C’est pourquoi, exceptionnellement, et à la demande de Soké Roland HABERSETZER du Tengu-ryu Karaté-do, il a pu se présenter à cet examen ce samedi après une journée de stage…

Son travail et sa préparation, engagés, ont permis l’accès au 4e Dan. Bravo ! Le fruit d’une longue préparation qui donne à son dojo (Shin’kyuu Dojo, à Strasbourg) un embellissement supplémentaire. Ses élèves auront d’autant plus de mérite à suivre leur sensei…

C’est également un succès pour le Dento Budo Dojo qui voit l’un de ses élèves comme ayant le niveau le plus élevé parmi les sempai (les « anciens »…). C’est aussi d’autant plus appréciable qu’aujourd’hui rares sont celles et ceux qui durent dans la voie qu’ils ont choisie. L’effort dans la durée devient une denrée rare. Ainsi que le prosélytisme que fait Didier pour faire connaître le karaté dans l’esprit de celui de notre école traditionnelle, le Tengu-ryu, signe l’engagement qu’il porte en lui et hors de lui.

L’épreuve – car s’en est vraiment une ! – du passage de grade, imprime toujours un souvenir chez le pratiquant, unique, avec son lot d’imperfections. L’aspect technique incorporé laisse maintenant peu de marge de progression si on s’en tient à cette seule technique. Mais heureusement, devant Didier se dessine maintenant une certaine personnalisation de son karaté, reflet de l’orientation qu’il en donnera par une réflexion toujours plus pointue. Tout en utilisant l’externe, l’interne devra émerger pour de nouveaux challenges.

En attendant, bonne continuité sur la Voie Tengu, avec toujours autant d’enthousiasme et de passion à partager autour de soi, au dojo, comme hors du dojo.

Tengu Kamae de Didier SIAT.

Didier SIAT, à droite, en Tengu Kamae lors d’une phase d’un Kumite lors de son passage de 4e dan, sous l’œil de Alex HAUWAERT, expert en Tengu-ryu Karatedo.

De gauche à droite, Jean-Claude BENIS, Roland HABERSETZER et Didier SIAT.

De gauche à droite, Jean-Claude Bénis, sensei du Dento Budo Dojo, Soké Roland HABERSETZER, fondateur du Tengu-ryu, et Didier SIAT promu au grade de 4e dan de Tengu-ryu Karatedo, ce qui lui donne le titre de RENSHI.

 

  

Stage d'hiver
KAN GEIKO 2019

Notre dernier stage avant la fin de l’année, réunissant des karatékas de tout horizon – France, Allemagne, Belgique, Suisse, Russie – avec cette année des très jeunes qui peut-être donneront un jour le ton pour une nouvelle orientation des Arts martiaux, loin des systèmes sportifs, fut une fois de plus un véritable succès. Plus d’une centaine de karatékas… quand même !

Le message du Soké de l’école Tengu-ryu était clair. Différencier le sport (qui a sa raison d’être pour un certain public) de l’Art martial doit sans cesse être remis sur le « tatami »… pour bien comprendre ce qui donne à la pratique, à la base guerrière, sa dimension éducative. Cette dernière possède plusieurs directions, l’une d’entre elles consiste à élever l’esprit… et non le contraire, souvent matérialisée par le fleurissement de méthodes plus violentes les unes que les autres. Voulons-nous revenir vers la période des gladiateurs ? Où est alors le progrès, jaillissement de l’accumulation des connaissances transmises de génération en génération pour rendre l’Homme meilleur ?

De ce que les maîtres d’un temps passé nous ont légué qu’en reste-t-il ? Comprenons-nous vraiment le message sous-jacent ? La diffusion massive de vidéo sur internet et accessible par une masse de plus en plus jeune s’éloigne de ce qu’on nomme « la Tradition orale ». Cette Tradition permet d’adapter du cas par cas lors d’enseignement même de masse. C’est au contact, particulier, par le corps comme par la parole que sont transmises les subtilités de l’art. Une vidéo, quelle que soit sa qualité, et le regard avisé qui observe ne pourra jamais rentrer dans les subtilités qui sont d’un autre niveau et d’une complexité parfois insoupçonnable.

Ce stage cadre les karatékas dans une direction bien définie par la parole et la gestuelle démontrée par le Soké. Il s’agit d’accumuler certes de la technique – sans elle ce n’est plus une pratique martiale ! – mais au-delà de celle-ci, savoir l’utiliser à bon escient, à sa juste valeur pour répondre humainement aux circonstances environnementales. C’est là qu’on détecte une fois de plus sa dimension éducative si l’on considère qu’on touche au mental… qui se traduira par le comportement adopté et de préférence, adapté.

Afin de lier nos pratiques (mains vides ou mains pleines) une fois de plus nous avons vu (ou revu) l’utilisation avec Tambo et Boken, à partir de certains concepts de l’école Tengu-ryu. C’est ce qui traduit de la cohérence de la gestuelle utilisée. La mémoire musculaire aidera à sortir le geste quelles que soient les circonstances et non de rester bloqué, démuni face à de l’imprévu…

Le contexte social ne nous a pas empêchés de nous réunir à nouveau… L’enthousiasme à l’issue de ce week-end nous laisse la perspective d’entrevoir déjà le prochain stage. Halle en Belgique en sera la future destination, après les fêtes de fin d’année. C’est avec toujours autant de passion et de plaisir de partager ensemble que nous attendrons patiemment ce rendez-vous. En attendant, de l’eau va couler sous les ponts.

Merci au Soké et à ses experts pour ces enseignements dont les messages sont aux faits de l’actualité.

Ci-dessus, quelques karatékas du Dento Budo Dojo en Tengu Kamae.

 

Dominique à gauche face à Jean-Paul lors d’un kumite

 

Le Soké, Roland HABERSETZER, expliquant le lien, avec l’utilisation du Boken,  d’une phase du kata propre à l’école Tengu-ryu : « Kara-ho Tengu-no-kata« . Sans aller jusqu’à l’exécution du kata complet, chaque partie furent retravaillées les unes séparément des autres pour bien comprendre les différences expérimentées selon les distances envisagées.

 

Une partie des membres de notre association Dento Budo Dojo présents au stage autour du Soké Roland HABERSETZER au centre. Complètement sur la droite, Didier SIAT qui a obtenu la veille le grade de 4ème Dan. Au centre, une tapisserie offerte au Soké par Natalia (de Russie) représentant un Tengu… 

Ci-dessous, le groupe des Yudansha ! Toujours aussi nombreux… 

Stage d'hiver - ceintures noires